ex_and_the_city    chez_les_fillesQuand j’ai lu l’avis d’Ori il y a quelques temps, l’envie de le lire a été immédiate. Je voulais rire moi aussi. Alors quand Suzanne de Chez les filles m’a proposé de le recevoir, je n’ai pas attendu une minute.
    Et comme nous avions envie d’en papoter avec Pimprenelle, nous avons décidé de le programmer pour notre LECTURE DU DIMANCHE.

De quoi ça parle :

    Ce livre est comme son sous-titre l’indique un « manuel de survie à l’usage des filles larguées ». On y suit les aventures de l’auteur et de toutes ses déconvenues amoureuses. Elle s’y fait larguer, séduire et re-larguer sans cesse.

Ce que j’en ai pensé :

    J’ai surtout aimé le début de ce livre. L’auteur raconte son échec amoureux avec une auto-dérision que j’apprécie beaucoup. On y retrouve toutes les phrases types que tout un chacun est capable de déclamer sous prétexte de consoler la pauvre âme en peine. L’auteur raconte tous les changements d’états d’âme qui suivent une rupture et on se marre.

    J’ai aussi beaucoup aimé le chapitre où elle revisite toutes les grandes amoureuses à travers les temps, et la manière dont elle nous montre que rien n’a été inventé et que Didon, déjà, préfigurait les plus grandes sitcoms américaines. Ce passage là est délibérément bourré d’anachornismes et hilarant.

    Pour le reste du livre, je dois dire que j’ai ri par moments car je me suis reconnue dans certaines attitudes idiotes. Cependant, je trouve que cela tourne vite à vide et devient assez répétitif. Je me suis d’ailleurs un peu ennuyée lorsqu’elle énumère tous les titres de chason que l’on écoute en cas de rupture puis celles qui redonnet la pêche, puis le top de celles choisies par les hommes.

    Tout le passage du voyage à New-York m’a également un peu ennuyée.

Bon, comme j’ai plus de lectrices que de lecteurs, je vais faire ma fille et vous dévoiler

1) La chanson qui pour moi symbolise la rupture

2) La chanson qui me redonne la pêche


Et vous ?

Merci encore au site Chez les Filles ainsi qu’aux éditions Belfond pour cette découverte.

Alors Pimprenelle, qu’en as-tu pensé ?