Voici la suite de mes aventures dans les livres de Leiloona. Dans cet épisode, je vous dirai donc comment le coup de coeur ne fut pas au rendez-vous. Cela arrive.
J’ai toutefois terminé ce roman pour deux raisons : l’écriture est fluide et j’étais coincée dans la salle d’attente du médecin avec peu d’autre alternative pour tuer le temps. Et pourtant, ce livre avait fait l’objet d’un billet élogieux sur Bric-à-Book.
Ce récit autobiographique montre comment une jeune femme va tenter de dire ce que fut son enfance dans l’appartement familial, à l’abri de tout finalement. Le Val de Grâce est le nom de la rue de ce quartier chic de Paris et où l’auteur a vécu 23 ans. Mais tout a une fin et la maladie et le décès de sa mère prouvent à quel point l’équilibre est fragile, et la douleur difficile à gérer et à dire. C’est ainsi que l’auteur va tenter de reparcourir ce passé heureux afin de réussir à exprimer ce qui l’en a arraché.
Histoire touchante, me direz-vous. Certes. Mais je ne sais pas, je n’ai pas accroché, je n’ai pas réussi à embarquer. Hormis les premières pages que j’ai trouvées très belles, rien ne s’est passé, je n’ai pas frémi. Tant pis.
Merci tout de même Leil car j’avais envie de découvrir cet auteur.
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