Nous étions faits pour être heureux de Véronique Olmi
Commencer un roman, en lire 40 pages, trouver ça bien. Le reprendre le lendemain, tranquillement, dans son bain et ne plus pouvoir s’arrêter avant la fin, réchauffant le bain, quart d’heure après quart d’heure car c’est trop ça, chaque phrase résonne trop vrai en vous… Voilà ce qui s’est passé entre moi et le dernier...