5h18… déjà dans le métro, le corps encore plein de sommeil. Et pourtant comme chaque week-end, rien n’est trop tôt, rien n’est trop loin pour aller la retrouver. Si l’on m’avait dit qu’un jour, moi le fêtard, moi le trousseur de jupons, je prendrais la route aux aurores pour une fille. J’aurais éclaté de rire.
Mais je ne peux résister à ces deux yeux-là, à cette moue paresseuse qu’elle affiche au réveil, à ses cheveux emmêlés d’avoir trop gigoté dans ses draps. Je n’ai pu que succomber à son premier « je t’aime », je ne peux qu’accorder tout ce qu’elle accompagne d’un si joli « s’il te plait ». C’est la première (et sans doute la dernière) pour qui je pourrais me damner.
Mais comme sa mère a choisi de refaire sa vie à l’autre bout de la France, je n’ai d’autre alternative que de la traverser afin d’aller retrouver la seule femme de ma vie.
Ma fille.
Et oui cette moue paresseuse, nous en ferait faire des folies. Très touchant!
Merci Mag !!
J’aime beaucoup ton texte, c’est adorable.
Merci ma belle
Oui, très touchant.
Merci
*frissons* <3
Merci <3
Excellente chute !
Merci
Je ne m’attendais pas à la fin. très beau.
Merci beaucoup
J’adore…!
Merci ma copine !!
Mon dieu, ce sont les vacances et j’en oublie de lire ton texte du Lundi!!!
J’aime beaucoup. J’aime surtout quand tu nous surprends sur la fin. Je m’attends souvent à quelque chose et j’ai toujours droit à une surprise!
Ah les vacances… Merci pour le compliment