ame-du-malPimprenelle a comme chaque mois eu une excellente idée en lançant une découverte de Maxime Chattam. Hormis le fait que je n’ai pu me décrocher de ce bouquin et que tout ce que j’avais à faire ce jour-là est complètement passé à l’as.

    Ceci dit, les lecteurs attentifs de ce blog ne seront pas dupes de ma petite combine pour que mon billet soit bien daté, mais la journée de samedi fut elle aussi épique. Mais chers amis, tout n’est pas blogable…

    Revenons-en à Chattam et à mon choix de lecture, chers lecteurs patients et habitués aux frasques de celle qui tente de tenir ce blog.

    Je vous fais un petit résumé rapide car ce roman est très connu, c’est le premier d’une trilogie, celle de Joshua Brolin dont le talent est de profiler les meurtriers en série. Tout d’abord encore une fois, je suis contente de ne pas avoir lu la quatrième de couverture qui spoile quand même le premier rebondissement et donc fiche en l’air les 65 premières pages de ce roman. Et quand on sait que le ressort principal de ce genre de livres est la montée de l’angoisse et les révélations, on se demande qui sont les crétins payés pour faire des quatrièmes de couverture. Voilà, ça, c’est dit !

    Un type enlève des filles et leurs fait passer un sacré mauvais quart d’heure. Les cadavres sont retrouvés mutilés et marqués au front par de l’acide, les laissant bien défigurées. Brolin va connaître la peur parce que rien ne semble logique, trop de choses finissent par ne pas se tenir. Mais je ne peux vraiment vous en dire plus, de peur de me transformer en rédacteur crétin de 4e de couv’.

    Je me suis régalée, j’ai frémi et me suis encore une fois « étonnée » de la noirceur de l’espèce humaine. Ceci dit, un petit bémol sur ce qui va être la clé du mystère, je m’en doutais et je trouve toujours ce ressort un peu facile notamment à ce moment de l’intrigue. Mais je deviens exigeante avec ce genre de roman, je le sais.

    Je file d’ailleurs lire l’avis de ma comparse qui a choisi le même titre que moi. Et je pense ne pas traîner pour me plonger dans la suite.