le_chuchoteur    C’est grâce à un partenariat entre les Editions Calmann-Levy et le forum livraddictque j’ai pu découvrir en avant première ce polar de haute voltige. Et je les en remercie vivement !
    Comme Pimprenelle l’avait également sur sa PAL et que nous ne pouvions attendre pour le lire, nous en avons fait notre LECTURE DU DIMANCHE !

    Et en ce dimanche, je fête un double anniversaire : notre LECTURE DU DIMANCHE a un an et c’est aussi mon anniversaire (mais je ne vous dirai pas mon âge, rires).

De quoi ça parle :

    Mila est spécialisée dans les affaires d’enlèvement, notamment dans celles des enfants. C’est ainsi qu’elle va être mêlée à l’enquête menée par le criminologue Goran Gavila et son équipe sur l’enlèvement de plusieurs fillettes dont on n’a retrouvé en premier lieu que le bras gauche.
    Si l’affaire semble déjà atteindre un fort potentiel de glauque, Mila n’en est qu’au début de l’horreur qu’elle va découvrir jour après jour…

Ce que j’en ai pensé :

    Ce roman est génialissime. Certes, il faut avoir le coeur bien accroché pour en venir à bout.
    Mais comment vous dire ? Le rythme est haletant et l’intrigue menée d’une main de maître. On va de surprise en surprise, jusque dans les dernières lignes. Et pourtant, à aucun moment cela ne semble trop gros. Rien n’est de trop, tout se justifie. En un mot, c’est bluffant !
    Et puis les profils des personnages sont également parfaitement menés et réussis. Je me suis beaucoup attachée au personnage de Mila que j’ai trouvé atypique. Elle m’a beaucoup marquée par son intelligence mais aussi par sa détermination à toute épreuve. Le personnage de Goran m’a également beaucoup remuée, plus que je ne l’aurais pensé d’ailleurs.
    Si certaines scènes sont assez difficiles à envisager car elles touchent aux enfants, c’est surtout psychologiquement que c’est éprouvant. En effet, je n’ai pas trouvé que les scènes décrites jouaient sur la surenchère du glauque. Par contre, on ne peut empêcher l’imagination de fonctionner à plein régime et de reconstituer ce que les mots suggèrent.

    Il ne me reste plus qu’à vous conseiller d’aller lire l’avis de Pimprenelle et de vous ruer en librairie le 5 mai.