titeuf    Tout d’abord, nous avons vaillament surtout moi lu ensemble les 178 pages de ce roman chez Hachette, qui va avec le film sorti sur les écrans il y a peu. Dans cet épisode, Titeuf est toujours entouré ses éternels copains débiles et en pince toujours pour la jolie Nadia. Rien de bien nouveau sous le soleil si ce n’est que la maman de Titeuf part avec sa petite soeur car elle veut faire le point. Titeuf reste seul avec son papa et a très peur que ses parents se séparent. Je dois dire que mon fils et moi avons eu un avis très différent sur ce livre. Il a adoré, s’est marré tout du long des bêtises de Titeuf (une vraie usine à idioties, il faut le reconnaître) et a suivi avec beaucoup d’attention les péripéties que traversent les parents de Titeuf. En ce qui me concerne, j’ai détesté et il m’a fallu beaucoup d’amour et de patience pour me taper lui lire ces aventures trois soirs de suite. Ce qui m’insupporte le plus (comme dans le dessin animé), ce sont les « pô » et les fautes de syntaxe à la pelle. Et forcément dans un livre, l’effet est encore plus pénible pour moi, l’impression de lire des copies d’élèves… Enfin mon ti moun s’est régalé et c’est bien là le principal.

 

    Ensuite, nous avons lu son livre hebdomadaire de la BCD : Laura est timide aux Editions du Sorbier. Cetlaura_est_timide album raconte l’histoire d’une petite qui rougit sans cesse et dont la timidité est vraiment un handicap. Jusqu’au jour, où elle rencontre un petit garçon qui s’est perdu et qu’elle va aider. C’est une jolie histoire que nous avons appréciée tout deux et qui montre comment la petite fille va enfin s’ouvrir au monde. Par contre, j’ai trouvé les illustrations vraiment très vilaines…

 

coup_de_foudre    Et on finit sur un coup de coeur, comme à chaque fois que nous lisons une histoire de cette série : Coup de foudre au poulailler de Jolibois et Heinrich. Comme d’habitude, on se régale, on rit et on se cultive. Encore un opus très chouette dans lequel notre Carmélito tombe amoureux d’une poulette actrice de théâtre. Les patronymes sont comme toujours hilarants et l’intertextualité au rendez-vous (l’héroïne nommée Roxane, le filtre d’amour de Tristan et Yseult, la dame à la Licorne, la scène « amoureuse » du balcon). Mon ptit bout et moi, on ne s’en lasse pas et on recommande à grands cris !

mercredi_avec_mon_p_tit