gifles_au_vinaigre    Comme Pimprenelle et moi avions eu le même envoi de la part des Editions Albin Michel, que je remercie d’ailleurs, nous avons décidé de faire de ce titre notre LECTURE DU DIMANCHE.

Ce billet ne sera pas très long car pour moi, la magie n’a pas opéré et que je n’ai pas pu dépasser la moitié du livre.
Pourquoi ? Le résumé et l’époque historique avaient tout pour me séduire. Et pourtant…

    Le récit de Tony Cartano est autobiographique. On peut lire une tentative de raviver le souvenir et d’écrire ce qui lui reste de ce père, homme inaccessible et mystérieux, aux allures de héros. Sur fond de guerre civile espagnole, d’immigration espagnole en France, l’auteur tente de se réapproprier des souvenirs qu’il a dû mal à analyser.

    Je pense que c’est justement ce procédé visant à rechercher les souvenirs qui m’a perdue. Je ne suis pas parvenue à avoir envie de suivre le destin des personnages. La plume n’est pourtant pas désagréable, le projet intéressant mais parfois, le courant ne passe pas. C’est avec un livre comme avec les gens, ce n’est parce que l’on n’accroche pas que ce n’est pas à découvrir.
    Mais comme la lecture doit rester un plaisir, je repose à moitié ce roman de la rentrée littéraire.

Calepin