Voilà encore un roman acheté dès sa sortie et qui n’a pas eu le temps de s’installer dans la PAL. Voici donc le septième tome des aventures d’Erlendur… sans Erlendur, parti en vacances…
C’est donc Elinborg qui va prendre les rênes de cette nouvelle enquête et le lecteur n’aura pas à s’en plaindre. En effet, l’enquêtrice est très efficace et le lecteur va être ravi d’en apprendre plus à son sujet. Si sa vie familiale est bien plus équilibrée que celle d’Erlendur, elle connaît elle aussi des difficultés avec son fils aîné.
Le roman commence très fort ! Le lecteur accompagne un homme décidé à droguer une jeune femme afin de la violer. Elle le suit jusque dans son appartement, privée de toute volonté propre. Mais le lendemain, c’est le cadavre du garçon qui est retrouvé dans l’appartement, portant le t-shirt de la jeune femme. Que s’est-il passé ? Où est la femme ? Le lecteur va donc aller de rebondissement en rebondissement et la vérité est bien mieux cachée qu’on ne le croirait.
Un billet court aujourd’hui car un thriller ne souffre pas d’être trop dévoilé mais un plaisir extrême de lecture. Le changement d’inspecteur redonne un peu de souffle à la série et les fans lâcheront ce livre avec une certaine angoisse car Erlendur ne donne aucune nouvelle et que le roman se clôt sur une certaine note d’inquiétude à son égard…
20 réflexions au sujet de “La rivière noire d’Arnaldur Indridason”