L_homme_qui_m_aimait_tout_bas___Eric_Fottorino    A la lecture de ce livre, j’ai réalisé que je devais davantage écouter mes goûts de lectrice. En effet, ayant toujours beaucoup de mal à m’intéresser aux récits qui sont soit des témoignages, soit des autobiographies, j’aurais dû me douter que je ne pouvais entrer dans cette autobiographie d’un romancier dont je n’avais, en plus, rien lu auparavant.

    Ce roman est le récit touchant, déchirant même, d’un homme dont le père décide un jour de mettre fin à sa vie d’un coup de fusil dans la bouche. L’auteur va alors raconter non seulement la douleur, l’incompréhension que l’on peut ressentir devant un tel geste qui nous arrache nos proches dans une impression de violence et d’urgence. Mais il va aussi relater la relation qui les unissait puisque ce n’était pas son père biologique mais le deuxième mari de sa mère, l’homme qui l’a néanmoins élevé.

    Je suis navrée d’avouer que malgré un style que j’ai trouvé bien ciselé, des souvenirs qui sont forcément touchants, je suis restée complètement en dehors de ce roman dont je n’ai lu que les 100 premières pages, et de manière assez hachée car je ne voulais au début pas en abandonner la lecture.

     Je me ferai un plaisir d’offrir et envoyer ce livre au premier blogueur-commentateur régulier de ce blog qui m’en fera la demande en commentaire et m’enverra son adresse par le formulaire de contact. Si vous êtes friand d’autobiographie, n’hésitez-pas. EDIT à 6h55 : Leiloona l’emporte.